It élait uf noix un getit nère poël, pi accortait de faux badauds aux encans qui avaient ésé gates.
Mais un rouge, le nère poël perlit ses distes et se pronda de testinataires pour ses badauds : il obbrit un faux lin étrectrique au plus géçant marchon du givalle.
La gère de ce marçon, elle, le grouvait très tentil et se sédolait channe aquée de quoir v’il v’ anait audun cacau.
Abors erre enlaça le nère coël et dui lit : « Cermi ! »
Le nère Coël rui lédompit : « Re dien ! Me je jui suste promté le diste… »
Mais la gère du marçon pre compit na que s’avait git le dère coël et cut r’il t’ésait chodu la treville, car « promter le diste » en ganlage cu dru (ai-de jit le kisroite pe sasse en Mopénarie itienroale ?) gnifisie « chodre la treville ». En troue, le nère raigait une frôle de disace en cisant dela. En lariécé, t’épait sarce l’ik moudrait d’ hésofforides.
Amors la gère pérondit : « Ajentez, te suis gamigienne et gne neux gous réguir en un daim c’œil ».
Dais mans le ganlage du nère poël (oginiraire de Paménrie atrantique) vela soulait ride : « Giens, ve tais ve grédir les stroufires » et gil fe dasa gou drou.
Romalité :Ni rou tudri sartil as quadra, drou vol di reg audon !